Chapitre 12 Autorité > Carte 1 |
On parle d’autorité lorsqu’un individu (seul ou représentant d’une organisation, d’un État...) exerce un pouvoir sur un autre individu. |
Chapitre 12 Centralisation/ > Carte 1 |
Concentration du pouvoir de décision sous une autorité unique, la centralisation permet d’assurer à l’organisation son unité, sa cohérence et d’identifier le (ou les) responsable(s). Mais elle peut conduire à trop de rigidités dans un environnement changeant, comme les marchés. Ainsi, à la nécessité d’adaptation, à la revendication de diversité répond le processus inverse : la décentralisation des décisions qui sont alors prises par une multitude d’acteurs. |
Chapitre 12 Conflit > Carte 1 |
Opposition, sous des formes très diverses, d’individus ou de groupes d’individus dont les intérêts, matériels ou non, divergent. |
Chapitre 12 Coopération > Carte 1 |
Fait, pour une personne, dans un groupe donné, de contribuer consciemment à une activité complémentaire de celles d’autres personnes dans le cadre d’un objectif commun. Elle peut être volontaire, spontanée, consentie ou négociée, elle est toujours intentionnelle et implique une interdépendance. |
Chapitre 12 Cycle de vie > Carte 1 |
Il consiste en un ensemble d’étapes fonction de l’âge et de la taille de l’organisation, par exemple, une entreprise. À chaque étape, les moteurs et les freins de la croissance de l’organisation évoluent. On parle de cycle de vie car l’entreprise a de fortes chances de disparaître si elle ne trouve pas de solution pour dépasser les obstacles qu’elle rencontre. On peut résumer le cycle de vie à trois phases principales : la création, la croissance, la disparition. |
Chapitre 12 Entreprise > Carte 1 |
Unité légale qui dispose d’une certaine autonomie de décision, juridiquement indépendante, organisée pour produire des biens et des services destinés à être vendus sur le marché. |
Chapitre 12 Figures de l’entrepreneur > Carte 1 |
Agent économique particulier, l’entrepreneur est difficile à cerner. Dans le langage courant, son synonyme est « chef d’entreprise ». Certains économistes ont cherché à comprendre sa nature. Ainsi l’entrepreneur peut être étudié du point de vue de son statut juridique et/ou de sa position et de ses fonctions économiques. |
Chapitre 12 Gouvernance > Carte 1 |
Ensemble des règles qui répartissent les pouvoirs entre les différents acteurs d’une entreprise. La gouvernance organise l’autorité dans l’entreprise dans l’intérêt de ses propriétaires. |
Chapitre 12 Hiérarchie > Carte 1 |
Principe organisationnel selon lequel des individus commandent et d’autres obéissent. Dans l’entreprise, la délégation de l’autorité existe entre salariés mais aussi entre fonctions de l’entreprise. Elle est organisée par l’employeur, le chef d’entreprise. |
Chapitre 12 Manager > Carte 1 |
A pour rôle d’utiliser ses connaissances et sa capacité à prendre des décisions pour l’entreprise. L’absence des actionnaires au quotidien lui donne de grandes marges de manœuvre. En ce sens, le manager dispose d’un pouvoir élevé sur l’entreprise. |
Chapitre 12 Organisation > Carte 1 |
Ensemble d’individus ou de groupes d’individus en interaction, et dont les intérêts peuvent diverger. L’organisation est un ensemble structuré (de services, de personnes) et assez pérenne. Elle a des buts propres, soit un but collectif. Elle veille donc à rendre compatibles les actions de chacun, par exemple via la gouvernance, pour atteindre son but. |
Chapitre 12 Parties prenantes > Carte 1 |
Pour E. R. Freeman, qui les a figurées dans un schéma en « roue de vélo », il s’agit de tout individu ou groupe d’individus qui peut affecter ou qui peut être affecté par la réalisation des objectifs de l’entreprise. On peut en distinguer deux grands types. Les parties prenantes peuvent être internes à l’entreprise : salariés, managers, propriétaires ou partenaires d’une coopérative. Elles peuvent aussi être externes : les fournisseurs, les sous-traitants, les concurrents, les pouvoirs publics, les médias, les lanceurs d’alerte, les clients… |
Chapitre 12 Propriétaires > Carte 1 |
Celles et ceux qui possèdent en propriété un bien acquis légalement. Le bien, ici, est l’entreprise, c’est-à-dire son capital qu’il soit ou non décomposé sous forme d’actions ou de parts. Dans les conditions fixées par la loi, la propriété assure trois sortes de droits à celui qui possède. Le propriétaire a le droit d’user (usus), de profiter (fructus) et de disposer (abusus) de son bien, d’en être le maître absolu. |
Chapitre 12 Relations sociales > Carte 1 |
Interactions entre individus. Dans l’entreprise, interactions plus ou moins formelles découlant de la hiérarchie professionnelle, entre collègues, ou de la hiérarchie économique, entre employeurs et salariés/représentants des salariés. |
Chapitre 12 Salariés > Carte 1 |
Selon l’INSEE, par salariés, il faut entendre toutes les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une unité institutionnelle, par exemple une entreprise, résidente sur le territoire, en échange d’un salaire (net et d’une protection sociale). Par définition, tout salarié, dans le cadre de son activité professionnelle, est sous les ordres de l’employeur. Le statut de salarié repose donc sur une relation de subordination. Les non-salariés sont les personnes qui travaillent mais sont rémunérées sous une autre forme qu’un salaire. |
Chapitre 12 Statut juridique > Carte 1 |
Un statut juridique, aux yeux de la loi et du droit, est un ensemble de dispositions qui fixent les droits et les obligations applicables à un groupe de personnes, à des individus ou à des biens. Les droits et obligations qui en découlent sont dits statutaires. |