Nous sommes tous des féministes de Chimamanda Ngozi Adichie - Quiz sur votre lecture

Pour chaque question, cochez la bonne réponse.

  1. À quel genre appartient « Nous sommes toutes des féministes » ?

    • C'est un récit.
    • C'est une interview.
    • C'est un discours que l'autrice a mis par écrit.
    • C'est une pièce de théâtre.
     Réponse(s) 

    « Nous sommes tous des féministes » est une conférence prononcée par Chimamanda Ngozi Adichie en 2012. Elle l'a ensuite couchée sur le papier pour en publier le texte (voir l'introduction).

  2. De quel pays Chimamanda Ngozi Adichie est-elle originaire ?

    • Des États-Unis.
    • De France.
    • Elle ne l'indique pas.
    • Du Nigéria
     Réponse(s) 

    L'autrice indique à plusieurs reprises venir de Lagos au Nigéria

  3. D'où l'autrice tire-t-elle la majorité des exemples qu'elle propose ?

    • De témoignages recueillis durant ses voyages.
    • De son expérience personnelle.
    • De ses nombreuses lectures.
    • De l'histoire du féminisme.
  4. Qui, pour la première fois, affirme que Chimamanda Ngozi Adichie est féministe ?

    • Sa mère.
    • Son ami Okoloma.
    • Un professeur.
    • Sa sœur.
     Réponse(s) 

    C'est son ami Okoloma, avec qui elle aimait discuter lorsqu'elle avait 14 ans : « Avec Okoloma, je pouvais débattre, rire et dire le fond de ma pensée. C'est aussi la première personne à m'avoir qualifiée de féministe. » (p. 17)

  5. Quelle première expérience lui donne le sentiment que les filles ne sont pas considérées comme les égales des garçons ?

    • La maîtresse ne la désigne pas « chef de classe » car elle est une fille.
    • Elle n'a pas le droit de jouer au football dans la cour.
    • Elle doit obéir à son frère.
    • Elle ne peut pas porter ses cheveux courts.
     Réponse(s) 

    « J'avais très envie d'être chef de classe. Et j'ai eu la meilleure note. Puis, à ma grande surprise, la maîtresse a déclaré que le chef de classe devait être un garçon. » (p. 21)

  6. Quel sentiment déclenche l'inégalité homme/femme chez l'autrice ?

    • Le dégoût.
    • Le désespoir.
    • L'indifférence.
    • La colère.
     Réponse(s) 

    « Je suis en colère. Nous devrions tous être en colère. L'histoire de la colère comme matrice d'un changement positif est longue. » (p. 28-29)

  7. D'après Chimamanda Ngozi Adichie, qu'est-ce qu'il faudrait changer en priorité pour faire évoluer les mentalités ?

    • Les productions culturelles (films, livres…).
    • L'éducation.
    • La loi.
    • L'apparence physique.
     Réponse(s) 

    « Et voici le point de départ : nous devons élever nos filles autrement. Nous devons élever nos garçons autrement. » (p. 32)

  8. Retrouvez la fin de cette anecdote : « Je connais une famille où il y a un fils et une fille. Ils ont un an de différence, ils sont tous deux brillants à l'école. »

    • La fille doit préparer des nouilles à son frère quand il a faim.
    • Le frère doit porter le cartable de sa sœur en plus du sien.
    • Seul le frère fera des études supérieures.
    • Les parents préfèrent le garçon.
     Réponse(s) 

    « Quand le garçon a faim, les parents disent à leur fille d'aller préparer des nouilles Indomie pour son frère la fille n'aime pas ça mais c'est une fille alors elle n'a pas le choix. » (p. 41)

  9. Comment l'autrice avait-elle essayé de masquer sa féminité lors de son premier cours à des étudiants ?

    • En ne se maquillant pas.
    • En parlant d'une voix grave.
    • En mettant un tailleur masculin.
    • En attachant ses cheveux.
     Réponse(s) 

    « Je savais qu'il me faudrait prouver ma compétence parce que j'étais une fille et j'avais peur de ne pas être prise au sérieux si j'étais trop féminine. […] J'avais choisi un tailleur très austère, très masculin, très moche. » (p. 43)

  10. Comment l'autrice définit-elle finalement le terme « féministe » ?

    • Femme qui combat pour dominer les hommes.
    • Personne qui croit à l'égalité sociale, politique et économique des sexes.
    • Femme qui réclame l'égalité sociale, politique et économique des sexes.
    • Personne qui préfère les femmes aux hommes.
     Réponse(s) 

    Cette définition conclut le texte p. 50.