Avec une membrane plasmique délimitant un compartiment renfermant le cytoplasme et un noyau.

La production de matière organique, à partir de matière minérale et de lumière, par les végétaux chlorophylliens.

Biodiversité des écosystèmes, des espèces et des individus (génétique).

Ils survivent mieux que les autres et leurs caractères se répandent au cours du temps.

La parade nuptiale.

Structures du cytoplasme des cellules eucaryotes qui assurent chacune une fonction particulière.

Rôle dans l’adhérence des cellules entre elles.

Nucléotide à cytosine.

Portion d’ADN qui porte une information génétique.

Ensemble de grosses molécules situées entre les cellules d’un même tissu et jouant un rôle dans l’adhérence cellulaire.

Ensemble de cellules de structure semblable et spécialisées dans la même fonction.

Ensemble des processus par lesquels l’information portée par un gène est « traitée » par la cellule.

Acide désoxyribonucléique. Molécule composée de deux brins de nucléotides enroulés en double hélice.

Motif de base de l’ADN. Il en existe quatre types dans l’ADN.

C’est une suite de transformations biochimiques.

CO₂ et H₂O.

Substrats : molécules organiques (dont le glucose) et dioxygène. Produits : dioxyde de carbone et eau.

Par les voies métaboliques de la photosynthèse.

Car les animaux consomment la matière organique, qui est un réservoir d'énergie chimique, produite par les végétaux.

Macromolécule qui accélère la vitesse d’une transformation biochimique.

Ensemble des voies métaboliques qui nécessitent du dioxygène. Elles conduisent à la libération d'énergie à partir de la transformation de molécules organiques.

Ensemble des voies métaboliques qui conduisent à la production de matière organique, à partir de matière minérale et d’énergie lumineuse.

Se dit d’un être vivant capable de produire sa propre matière organique à partir de matière minérale.

Se dit d’un être vivant qui consomme la matière organique d’autres êtres vivants afin de fabriquer sa propre matière organique.

Diversité des écosystèmes, des espèces, des individus.

Ensemble formé d’un milieu de vie et de la communauté d’êtres vivants en interaction dans ce milieu.

Car il évolue en permanence au cours du temps.

Le critère d’interfécondité.

Elle provient de la diversité des allèles générée par les mutations.

Version d’un gène.

Modification de la séquence de nucléotides.

Se dit à propos des séquences nucléotidiques de l’ADN qui peuvent changer au cours du temps par mutations. Cela conduit à l’apparition de nouveaux allèles.

Capacité des individus à se reproduire entre eux et engendrer une descendance viable et fertile.

La biodiversité évolue à différentes échelles d’espace et de temps.

La sélection naturelle.

Variation aléatoire de la fréquence des allèles en fonction du temps.

Des facteurs environnementaux ou génétiques.

Disparition brutale de groupes entiers d’organismes dans différents milieux.

Apparition de nombreuses espèces à partir d’une même espèce ancestrale.

Proportion d’un allèle dans une population par rapport à l’ensemble des allèles du gène étudié.

Ensemble d’individus d’une même espèce sur un même territoire.

Effet de l’environnement entraînant une variation non aléatoire de la fréquence de certains allèles dans la population.

Ensemble des mécanismes conduisant à la formation d’une nouvelle espèce.

Sonore, biochimique, visuel.

Défense, reproduction, nutrition.

Ensemble des caractères sexuels, notamment secondaires, qui distinguent les individus mâles et femelles d’une espèce.

La sélection sexuelle.

La spéciation.

Individu qui envoie dans le milieu un message pouvant être capté par des individus de son espèce.

Individu qui reçoit le message et qui modifie son comportement en réponse.

Sélection plus souvent exercée par les femelles sur certains mâles dotés de caractères héréditaires particuliers, favorisant leur reproduction par rapport aux autres mâles.

Conditions dans lesquelles se trouvent des individus appartenant à deux populations et qui ne peuvent plus se reproduire entre eux.

Ensemble des mécanismes conduisant à la formation de nouvelles espèces.

L’eau altère les roches et les transforme en particules qu'elle transporte.

Parce qu’elles sont épuisables.

C’est un écosystème modifié par l’être humain permettant une production agricole.

De matière organique plus ou moins décomposée et de matière minérale.

Les produits phytosanitaires.

Physique et chimique.

Pente, vitesse du courant, taille des particules.

Nature de la roche, activités biologiques et climat.

Dépôt par sédimentation, puis transformation en roches sédimentaires détritiques.

Modification chimique ou physique d’une roche, notamment sous l’action de l’eau.

Ensemble des phénomènes externes qui enlèvent tout ou partie des terrains existants et modifient ainsi le relief.

Dépôt des particules.

Propriété d’une roche dont les éléments constitutifs sont difficiles à séparer.

Ciment naturel qui lie les sédiments détritiques.

Zone où se déposent des sédiments.

Roches composées de sédiments détritiques provenant de l’érosion des continents.

Particules solides issues de l’érosion de roches préexistantes, qui se déposent.

Sables, évaporites (gypse, etc.).

De l’aléa et de la vulnérabilité des enjeux.

Rétention des limons, érosion accélérée, modification de salinité.

Le gypse.

Des mesures préventives (déplacement d’infrastructures, systèmes d’alerte, etc.) et de protection (construction de digues, réensablement, etc.).

Roche formée par dépôt de particules solides ou précipitation chimique d’ions issus de l’érosion.

Mesures visant à anticiper l’aléa et ses impacts par différents moyens, afin de diminuer le risque global.

Mesures visant à diminuer l’impact potentiel d’un aléa sur des enjeux donnés, afin de diminuer le risque global.

Produire de la biomasse pour satisfaire les besoins humains.

En utilisant des intrants : les engrais et les produits phytosanitaires.

Les agricultures extensive et intensive.

L’érosion et l’altération chimique de la roche par la biosphère.

L’humus provient de la transformation de la litière en matière organique de réserve sous l’action des détritivores et des décomposeurs du sol.

Écosystème modifié par l’être humain pour la production agricole.

Masse de matière organique produite par les êtres vivants d’un écosystème.

Produit apporté par l’être humain à l’agrosystème pour améliorer la production agricole.

Biomasse obtenue dans un agrosystème.

Être vivant (végétal, champignon, insecte ravageur, virus, etc.) nuisible pour les cultures.

Fertilisant de synthèse ou naturel qui contient des éléments nutritifs nécessaires au développement des végétaux.

Substance chimique ayant pour but d’éliminer les insectes ravageurs, les végétaux indésirables et les éléments pathogènes.

Être vivant qui se nourrit de matière organique des animaux et végétaux morts et la transforme en matière minérale.

Couche horizontale du sol ayant des propriétés physicochimiques particulières.

Chaînes alimentaires reliées entre elles.

Roche en partie à l’origine du sol, aussi appelée sous-sol.

Pollution des sols, etc.

Apporter connaissances, technologies et pratiques pour le développement d’une agriculture durable.

Utilisation de variétés naturellement résistantes, recours à la lutte biologique, etc.

Deux critères : écologie saine et économie viable.

Les couvrir de végétaux.

Modèle agricole industriel qui vise à une productivité maximale. On qualifie cette agriculture de conventionnelle parce qu’elle est très répandue.

Modèle agricole permettant de répondre aux besoins actuels des populations sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.

Mode de production agricole interdisant l’utilisation de produits chimiques de synthèse, l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés et limitant l’emploi d’intrants.

Elle est véhiculée par le sang et agit sur un organe cible.

Sous la forme de messages nerveux.

L’usage du préservatif.

Beaucoup de réponses sont possibles puisqu’ils sont partout : corps humain, sol, air par exemple.

La prise d’antibiotiques.

Le gène SrY.

L’évolution du follicule ovarien après l’ovulation.

Les cellules interstitielles.

Biologique, sociales, psycho-affectives.

Essentiellement le système nerveux.

Gonade identique dans les embryons XX et XY jusqu’à la 8^e semaine.

Hormone produite par les testicules (testostérone) et par les ovaires (œstrogènes et progestérone).

Attirance émotionnelle et sexuelle ressentie envers des individus de même sexe, de l’autre ou des deux.

Fonctions cérébrales ici impliquées dans la sexualité : imagination, mémoire, langage, etc.

Structure cérébrale permettant de ressentir le plaisir et de susciter une motivation.

L’hypothalamus, l’hypophyse et les organes sexuels.

La testostérone freine l’activité du complexe hypothalamo-hypophysaire.

Une molécule de synthèse apportée à l’organisme.

Le préservatif féminin ou masculin.

L’insémination artificielle et la FIVETE.

Hormone produite par une cellule nerveuse (neurone).

Hormone produite naturellement par l’organisme.

Incapacité à engendrer une descendance après une année de rapports sexuels réguliers.

Incapacité permanente à engendrer naturellement un enfant.

Un virus, le VIH.

Transmission directe entre êtres humains ou vectorielle via un vecteur biologique.

Une épidémie.

Par des mesures prophylactiques et de la prévention au sein des populations à risque.

Le changement climatique.

Micro-organisme responsable d’une maladie.

Entité (sol, air, êtres vivants) dans laquelle l’agent pathogène peut se maintenir dans la nature.

Organisme (en général arthropode) qui acquiert un agent pathogène sur un hôte et le transmet à un autre.

Présence d’une maladie infectieuse de façon prolongée dans un lieu donné.

Augmentation rapide et généralisée du nombre de cas d’une maladie infectieuse.

Ensemble des mesures visant à empêcher l’apparition, la réapparition et la propagation de maladies.

Une symbiose.

Champignon, bactérie, virus.

Simplifier des aliments que l’organisme ne digère pas seul, faciliter l’assimilation.

Antibiotiques, allaitement, gels hydroalcooliques, alimentation riche en fibres, etc.

Probiotiques, transplantation de microbiote fécal.

Ensemble des micro-organismes qui vivent sur et dans le corps humain.

Organisme qui abrite le micro-organisme et permet sa multiplication ou sa maturation.

Introduction d’un microbiote bactérien, prélevé dans les selles d’un donneur sain.