Un corps pur est constitué d’une seule espèce chimique.

Un mélange est constitué de plusieurs espèces chimiques.

Deux liquides formant un mélange homogène sont dits miscibles.

L’air est un mélange homogène de plusieurs gaz formé d’environ 80 % de diazote et 20 % de dioxygène.

La masse volumique d’une espèce chimique correspond à la masse d’un échantillon de cette espèce par unité de volume. Elle s’obtient en divisant la masse de cet échantillon par le volume de cet échantillon.

ρ_eau = 1 000 g·L⁻¹ ou 1,0 g·mL⁻¹

ρ_air = 1,3 g·L⁻¹

Un banc Kofler.

Le sulfate de cuivre anhydre blanc devient bleu en présence d’eau.

Une bûchette incandescente se rallume en présence de dioxygène.

Une flamme approchée d’un flacon contenant du dihydrogène provoque une détonation.

Un précipité blanc se forme dans l’eau de chaux en présence de dioxyde de carbone.

Une chromatographie sur couche mince (CCM) permet d’identifier les espèces chimiques d’un mélange homogène.

Si le chromatogramme fait apparaître plusieurs taches verticalement, le dépôt est un mélange.

Si le chromatogramme fait apparaître deux taches alignées horizontalement, celles-ci correspondent à la même espèce chimique.

C’est un mélange homogène d’un ou plusieurs solutés et d’un solvant.

C’est l’espèce chimique dissoute dans le solvant.

Le solvant d’une solution aqueuse est l’eau.

C’est la masse de soluté dissous par litre de solution.

\[ C_{m} = \frac{m}{V} \]

avec \( C_{m} \) la concentration en masse en g·L^–1

\( m \) la masse de soluté en g

\( V \) le volume de solution en L

La masse volumique d’une solution est le rapport de la masse de la solution par son volume.

La concentration en masse d’un soluté en solution est le rapport de la masse de soluté par le volume de solution.

La solution est saturée.

On peut préparer une solution par dissolution ou par dilution.

C’est la mise en solution d’une espèce chimique.

C’est ajouter du solvant à un volume de solution mère pour préparer une solution fille.

La masse de soluté se conserve lors d’une dilution.

Une pipette jaugée et une fiole jaugée.

Z correspond au nombre de protons dans le noyau.

A correspond au nombre de nucléons dans le noyau.

\( _{Z}^{A}\textrm{X} \) : A est en exposant à gauche du symbole X, Z est en indice.

N = A – Z

Dans un atome, le nombre d’électrons est égal au nombre de protons.

10^-10 m

10^-15 m

Cela correspond aux éléments chimiques ayant le même nombre de couches électroniques.

Les électrons de valence.

Le nombre d’électrons de valence correspond à l’unité de la colonne dans le tableau périodique.

Les éléments d’une même famille chimique sont dans une même colonne du tableau périodique.

Dans la 18^e colonne.

Leur couche de valence est saturée.

H⁺, K⁺, Ca²⁺, Mg²⁺, Cl^–

Il y a mise en commun de deux électrons de valence, chaque atome en apportant un.

Ce sont deux électrons de valence d’un atome qui ne participent pas à une liaison.

Par un trait autour du symbole de l’atome.

Pour être stable comme le gaz noble le plus proche.

Deux électrons entourent un atome d’hydrogène, huit électrons entourent les atomes de carbone et d’oxygène.

C’est l’énergie qu’il faut apporter pour rompre une liaison.

On ajoute les masses des atomes qui constituent la molécule.

Une mole d’entités chimiques contient 6,02 × 10²³ entités chimiques identiques.

\[ N = \frac{m}{m_{\mathrm{entite}}} \]

\[ n = \frac{N}{6,02 \times 10^{23} } \]

L’unité de la quantité de matière est la mole, de symbole mol.

Une transformation physique correspondant au passage d’un état physique à un autre.

Changement d’état au cours duquel le système absorbe de l’énergie.

Changement d’état au cours duquel le système libère de l’énergie.

Fusion, vaporisation, sublimation.

Solidification, liquéfaction, condensation.

Énergie thermique, libérée ou absorbée par transfert thermique, par 1 kg de corps pur, nécessaire à son changement d’état à température et pression constantes.

L < 0

Changement d’état de solide à liquide.

Une espèce chimique consommée lors d’une transformation chimique.

Une espèce chimique formée lors d’une transformation chimique.

Une espèce chimique spectatrice ne participe pas à la transformation chimique.

À gauche.

À droite.

- Loi de conservation des éléments chimiques.

- Loi de la charge électrique globale.

Le réactif limitant est le réactif totalement consommé en premier lors d’une transformation chimique.

C’est celui pour lequel le rapport de sa quantité de matière initiale sur son nombre stœchiométrique est le plus petit.

Une transformation au cours de laquelle le système chimique absorbe de l’énergie.

Une transformation au cours de laquelle le système chimique libère de l’énergie.

Une synthèse chimique permet de fabriquer une espèce chimique à l’aide d’une ou plusieurs transformations.

Chauffage à reflux.

Accélérer la transformation chimique et éviter les pertes de matière.

Le réfrigérant permet de liquéfier les vapeurs.

C’est le retour des espèces dans le mélange après liquéfaction des vapeurs.

Par le bas.

Le support élévateur.

En réalisant une chromatographie sur couche mince ou en déterminant une des caractéristiques physiques (masse volumique, température de changement d’état, etc.) de l’espèce chimique.

Noyaux ayant le même numéro atomique Z mais un nombre de nucléons A différent.

Transformation au cours de laquelle des nucléons de noyaux ou des particules libres se réarrangent.

Transformation nucléaire au cours de laquelle un noyau lourd est fragmenté en noyaux plus légers.

Transformation nucléaire au cours de laquelle des noyaux légers s’assemblent pour former un noyau plus lourd.

- Conservation du nombre de nucléons.

- Conservation de la charge électrique.

Ce sont des transformations exothermiques.

La fission.

La fusion.

Le système étudié et le référentiel.

C’est l’objet de référence supposé fixe par rapport auquel on étudie le mouvement. On lui associe un repère d’espace et de temps.

Mouvement rectiligne.

Mouvement uniforme.

\[ v = \frac {\mathrm{MM’}} {\Delta t} \]

avec

\( \mathrm{MM’} \) la distance entre deux positions successives

\( \Delta t \) la durée entre ces deux positions

• Direction (celle de \( \mathrm{MM’} \)).

• Sens (celui du mouvement).

• Norme (proportionnelle à la valeur de la vitesse compte tenu de l’échelle).

Le vecteur vitesse est constant.

Le vecteur vitesse garde la même direction et le même sens mais sa norme varie : il n’est pas constant.

Par une force.

Par un vecteur.

Par sa direction, son sens et sa valeur.

- Direction : verticale.

- Sens : vers le bas.

- Valeur : \( P = m \times g \) avec \( m \) la masse de l’objet et \( g \) l’intensité de pesanteur sur Terre.

À la force d’interaction gravitationnelle exercée par la Terre sur l’objet.

- Direction : droite qui joint les centres des systèmes.

- Sens : vers le centre du système attracteur \( \mathrm{A} \).

- Valeur : \( F = \mathrm{G} \times \frac {m_{\mathrm{A}} \ \times \ m_{\mathrm{B}} }{ d^{2} } \)

avec

\( m_{\mathrm{A}} \) et \( m_{\mathrm{B}} \) les masses respectives des systèmes \( \mathrm{A} \) et \( \mathrm{B} \)

\( d \) la distance entre leurs centres

\( \mathrm{G} \) la constante de gravitation universelle

Si un système A exerce une force sur un système B alors B exerce réciproquement et simultanément une force sur A. Ces forces ont même direction, même valeur mais des sens contraires.

Que les forces qui s’exercent sur ce système se compensent.

Le système est immobile ou en mouvement rectiligne uniforme.

Lorsque les deux forces sont représentées par des vecteurs de même direction, de même norme mais de sens opposés (les deux forces se compensent).

La somme vectorielle n’est pas nulle.

C’est un signal présentant un motif élémentaire qui se reproduit à l’identique à des intervalles de temps égaux.

Durée d’un motif élémentaire.

Nombre de motifs élémentaires par seconde.

La période en seconde est l’inverse de la fréquence en hertz.

Entre 20 Hz et 20 kHz.

Il faut qu’un objet vibre pour émettre un signal sonore.

Par un déplacement, de proche en proche, de zones de compression et de dilatation de la matière créées par les vibrations d’un émetteur dans un milieu matériel.

Le son a besoin d’un milieu matériel pour se propager.

340 m·s^–1

La hauteur du son, qui est liée à sa fréquence. Un son aigu a une fréquence plus élevée qu’un son grave.

Le timbre du son, lié à la forme du signal.

Le niveau d’intensité sonore, en décibel (dB).

En ligne droite.

300 000 km·s⁻¹

La réflexion et la réfraction.

i = i’

avec

i l’angle d’incidence

i’ l’angle de réflexion

Lorsque la lumière passe d’un milieu de propagation transparent à un autre milieu transparent de propagation, avec un angle d’incidence non nul.

C’est l’angle entre le rayon réfracté et la normale à la surface de séparation entre les deux milieux.

n₁ × sin i = n₂ × sin r

avec n₁ l’indice de réfraction du milieu où se propage le rayon incident

n₂ celui du milieu où se propage le rayon réfléchi

i l’angle d’incidence

r l’angle de réfraction

D’une infinité de lumières colorées.

La figure obtenue par dispersion de la lumière.

Spectre continu constitué de lumières colorées.

Spectre discontinu composé de raies colorées sur un fond noir.

Par sa longueur d’onde.

C’est un milieu dont l’indice de réfraction dépend de la longueur d’onde du rayonnement qui le traverse.

Le prisme en verre.

400 nm à 800 nm.

Son centre est épais et ses bords sont fins.

Le centre optique O, le foyer objet F et le foyer image F’.

Distance entre le centre optique O et le foyer image F’.

Sans être dévié.

En passant par le foyer image F’.

Parallèle à l’axe optique.

Rapport entre la taille de l’image et celle de l’objet.

Une image observable sur un écran.

Sur la rétine.

Le cristallin.

En série.

L’ampère, de symbole A.

La somme des intensités des courants qui arrivent à un nœud est égale à la somme des intensités des courants qui en repartent.

En dérivation.

Le volt, de symbole V.

Dans une maille (boucle fermée) orientée, la somme des tensions affectées de leur signe est nulle.

L’ohm, de symbole Ω.

C’est une droite passant par l’origine de coefficient directeur égal à la résistance R.

La loi d’Ohm.

U = R × I

avec

U la tension en V

I l’intensité du courant en A

R la résistance en Ω

Point d’intersection des caractéristiques du générateur et du dipôle récepteur branchés en série.