001croissante::002décroissante::003d'équilibre::004surplus::005défaillant::006sélection_adverse::007réglementation::008ententes::009monopole::010oligopole::011un_pouvoir_de_marché::012abus_de_positions_dominantes
Le marché est le lieu réel ou fictif où se rencontre l'offre et la demande afin d'échanger des biens et des services contre un prix. L'offre est une fonction du prix. La demande est une fonction du prix. Selon le modèle théorique de la concurrence pure et parfaite, lorsque l'offre est égale à la demande, nous sommes dans une situation et il y a une allocation optimale des ressources. Offreurs et demandeurs sont gagnants à l'échange, chacun pouvant disposer d'un .
Néanmoins, il existe certaines situations pour lesquelles le marché est (il ne permet pas d'aboutir sur une situation optimale). Il s'agit des externalités (négatives et positives), des asymétries d'informations (aléa moral et ) et de certains biens, comme les biens communs et les biens collectifs. Dans ces situations, l'État doit alors intervenir via la fiscalité, la ou en assurant lui-même la production de ces biens.
Par ailleurs, les entreprises n'apprécient guère la situation de concurrence pure et parfaite. Elles mettent alors en place des stratégies comme des , des barrières à l'entrée ou effectuent des opérations de concentration afin de se retrouver seule sur le marché ( ) ou en petit nombre ( ). Elles détiennent alors et sont en capacité de fixer des prix supérieurs au prix d'équilibre. Les marchés sont alors imparfaitement concurrentiels.
Pour éviter que les consommateurs ne soient trop perdants, les pouvoirs publics mettent alors en place des politiques de la concurrence qui visent à lutter contre les ententes, les et à réguler les fusions/acquisitions.